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1862 |
user de ruse et donner le change aux opposants. Ceux-ci
sappuyant sur la dernière clause du Décret canonique du 13 Sept. 1855 (id. p.
95)ne voulaient en aucune manière et être mis à contribution pour la bâtisse du
presbyt. de St-Paul, non encore construit (le 2e ). De plus, à cette époque
la fabrique était encore grevée de la dette relativement lourde de L311-7-11½, qui les
effrayait. Ces deux raisons étaient le cauchemar éternel des gens dElmire et de
St-Chs. Il était méfiant avant tout de les faire disparaître.
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Ass. |
À cette fin, le Dim. après (
) 18 mai 1862, une ass.
générale des tenanciers requérant la reconnaissance eut lieu, ds. le rang Papineau chez
les Frs. Viens. Il y fut résolu et décidé :
1o "Que les rangs St-Charles et Elmire seraient exempts de toutes
contributions légales pour la bâtisse dun presbytère après celui actuellement
occupé" 2o Que les habit. des autres rangs de la paroisse se rendraient
responsables de MM. Ch. St-George
Eugène Gauthier et Pierre Bail pour acquittement
de la dette due à Mr. Provençal curé de St-Césaire, les Mr. curé de St-Paul, Baille
et Gauthier se portant cautions vis-à-vis (
) pour la même dette.
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Le 19 mai, les trois cautions susdites
consentent aux créanciers signé St-Césaire une obligation sur laquelle elles se
reconnaissent solidement redevables envers lui de la somme de L311-7-11½. De suite, Mess.
Provençal acquitte (
) St-Paul de la même somme. Tout ceci nétait que pure
affaire de prime légale, destinée à amadouer les récalcitrants des rangs St-Chs. et
Elmire, à écraser leur opposition et leur fermé la bouche devant les commiss. civils.
De fait, la fabrique de St-Paul endossa dette et la paya quand elle le pût. (Archiv.
par.)
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Le 19 mai, les trois cautions susdites consentent aux
créanciers signé St-Césaire une obligation sur laquelle elles se reconnaissent
solidement redevables envers lui de la somme de L311-7-11½. De suite, Mess. Provençal
acquitte (
) St-Paul de la même somme. Tout ceci nétait que pure affaire de
prime légale, destinée à amadouer les récalcitrants des rangs St-Chs. et Elmire, à
écraser leur opposition et leur fermé la bouche devant les commiss. civils. De fait, la
fabrique de St-Paul endossa dette et la paya quand elle le pût. (Archiv. par.)
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Requête |
Cette mesure préliminaire (
) adressa dabord à
lautorité ecclés. aux fins dobtenir un nouveau Décret dérection
canonique de la paroisse. La requête en demande est du 23 Juin 1862; elle est adressé à
Mess. L.Z. Moreau Archiptre Administratr du Diocèse et signé par
114 propriét. majorité des francs tenanciers habitant le territoire à être érigé
canoniquement et civilement. ~ Le même jour, commission spéciale est donnée à Mr.
Isaac Stanislas Desaulniers, Prêtre du Séminaire de St-Hyacinthe.
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Le 22 Juill. suivant, à 10h a.m., le Député se transporte
dans la sacristie de lÉglise de St-Paul dAbbotsford : on y constate,
"2o que les signatures données par les rangs intéressés
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