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1860
Requête |
cet échec ne découragea point les requérants de la
reconnaissance civile. De suite, au nombre de113, majorité des tenanciers du territoire
à été érigé en paroisse, ils signent une requête, datée du 25 Déc., adressée à
Mgr Jos. Larocque, nouvel Év. de St-Hyac. demandant la réérection canonique de leur
par. avec les mêmes limites "sous linvocation de St-Paul dYamaska".
Ce territoire était alors habité par plus de 220 familles, formant une populat. De plus
de 1100 âmes, soit plus de 800 commts.
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1861
Rapport |
En vertu dune commission spéciale du 22 Janv. 1861,
Messire L. H. Archambault, archptre , curé de St-Hugues, se transporte, le 15
févr., à 9h. am.
"Dans la sacristie de lÉglise dite de St-Paul
dYamaska". Procédant en présence du peuple, il constate véritable. les
allégués des requérants, et surtout, que la distance que la presque totalité
dentre eux doit parcourir pr. se rendre aux Églises voisines St-Césaire, St-Pie et
N.D. de Granby est telle quil lui paraît grandement à désirer pour le bien de là
religion que le dit territoire soit érigé en paroisse."
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Séance tenante, une contre requête aussi du
15 févr., est présentée au Député. Celle-ci est signé par 25 propriét. du rang
St-Chs. et 22 de celui dElmire, majorité respective de ces deux 2 rangs. Les nouv.
suppliants déclarent quils sopposent formellement à ce que leur territoire
soit détaché
de la paroisse de St-Pie et compris dans celle de St-Paul
dYamaska,
parce quils se croient en droit de sopposer à faire
partie de la paroisse projetée
et de demeurer attachés à la paroisse de St-Pie
Le Député réfute leurs raisons, et recommande à lautorité ecclés. La
réérection canoniq. du territoire question denviron 6 X 7 milles environ, tel que
déjà érigé .
(Archiv. Ev. St-H) Signé :"Marsel Bissonnet - P. Bail" témoins
L. Misaël Archambault, Archiptre
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Cette procédure neut pas de suite; lopposition
constante des gens dElmire et de St-Charles y mettait un obstacle quel
lÉvêq. actuel nosait attaquer. Et de deux
À la fin de Sept., Mr. Fortin, curé, laissait la par. et Messire C. St-Georges lui
succédait (p.113)
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1862
2e phase. |
Après larrivée de celui-ci, la question de la
reconnaissance civile resta ensevelie pendant près de huit mois. En mai 1862, le nouveau
curé de concert avec la grande majorité des paroissiens, résolut de la ressusciter. Il
se dévoua corps et âme à cette affaire, il y employa toute son adresse et son énergie.
Pour ne pas échouer une seconde fois auprès du civil il fallut
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