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3. VII Mr. Chs. St-Georges, ptre 28 Sept. 1861=26 Sept. 1865. |
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L’Érection civile. |
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| 1861 | Messire Charles St-Georges, Desservant de la
par. de Sorel, nommé à la cure de St-Paul d’Yamaska, le 11 Sept. 1861, s’y
rendit pour le Dim. 29. Le fait capitale de son administration est la conclusion tardive
de l’affaire épineuse de la reconnaissance civile de la paroisse, déjà entamée.
Cette question est tout une histoire dans l’histoire , c’est ici les temps et
lieu de la traiter. |
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| 1860 1re Phase |
Remontons pour cela à Janv. 1860. À cette époque, sa par.
cath. de St-Paul d’Abbotsford était érigée canoniquement depuis quatre ans, quatre
mois, et il n’avait pas encore été possible de la faire reconnaître comme telle au
civil. En effet, ce n’était pas chose aisée à obtenir, au milieu de tant
d’éléments hétérogènes dont cette par. était composée . On se trouvait en face
de tel difficultés quasi insurmontables. Cependant, en Janv. 1860, on résolut tout de
bon d’agiter la question. Mais auparavant , on voulut faire disparaître le nom
d’Abbotsford qui blessait les oreilles canadiennes, et lui en substituer un autre
plus catholique et plus national. Dans ce but, on obtient le Décret dérogatoire et
explicatoire du 20 Janv. (id. p. 110) |
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| Le 3 févr., L’Évêq. permet de rendre L15 sur les
deniers de la fabriq. sous les frais d’érect. civile. Dès lors, toutes les pièces
relatives à la procédure ecclésiastiq. parues jusqu’à ce jour, sont promises aux
mains des commiss. Civils. ~ Le 13 févr., une 1re requête légale est
adressé à ceux-ci, en demande de la reconnaissance civile de la par. de St-Paul
d’Yamaska. ~ Le 18, une requête en opposition à celle-ci, leur est également
présentée. ~ Le 16 mars, les commiss. donnent avis aux intéressés pour et contre que,
le 13 avril suivant, ils prendront en considération tous les document relatifs à la
question. ~ Le 13 avril, les partis sont ajournées au 15 Juin . |
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| Dans l’intervalle, L’Évêque de St-Hyac. passe de
vie à trépas, 5 mai 1860. Les Srs commiss., toujours pointilleux
soupçonnaient d’irrégularité la procédure ecclésiastique, et n’en
saisissaient pas bien clairement tous les détails. Voulant donc connaître la question
plus à fond, et se, prononcer consciencieusement sur les conclusions, ils exigèrent un
mémoire explicatif de toute la procédure. (Arch. com. civ.) |
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