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1812 |
...sur les deux rives: on construisit aussi à
la hâte des tentes ou guérites pour abriter le reste. |

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Sur l'emplacement de l'ancienne Black House, il
existait encore alors une petite bâtisse en briques; elle servit de poudrière durant la
guerre actuelle sous la garde de quelques soldats de confiance.
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1815 voir
Bouchette |
A l'époque où nous en sommes,
le commerce de (sic) bois prit ici beaucoup d'extension, et se fit sur une assez grande
échelle; ce qui ne contribua pas peu à accélérer la colonisation sur les eux rives de
l'Yamaska. Joseph Bouchette qui écrivait à la même époque, dit, en parlant de la
Seigneurie de Monnoir: "Une vaste rangée sur la rive "gauche du Yamaska est
presque toute cultivée." Page 198.
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Il exagère, ou il veut parler de cette partie
de la rivière qui appartient aujourd'hui à la paroisse de St Damase, laquelle cependant
est assez loin de la Seigneurie de Monnoir. Vers cette même époque fut verbalisé le
tracé légal du Chemin du Rang Double et de Rougemont, appelé alors, selon toute
apparence, le Rang Ste Marie (
)au Cordon de la Seigneurie de Monnoir. Néanmoins on
ne travailla à ouvrir cette route qu'en 1818.
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Vers ce même temps encore (1815) François
Raynaud= Blanchard et Philibert Sicard en 1812. Etienne Beauregard, (Jean-Louis) 1812,
Basile Mailloux, s'établirent dans la partie basse de ce Rang, et furent les quatre
premiers colons.
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1817 |
Qu'on nous passe la fantaisie bien pardonnable
de tracer ici un nouveau et dernier tableau, constatant le nombre d'habitants, alors
échelonnés sur les deux rives et dans le Rang Ste Marguerite; c'étaient les seules
concessions ouvertes alors dans ces quartiers. On verra par ce tableau, où en était la
population, l'année même où se firent les premières démarches pour y avoir les
avantages inappréciables d'une desserte, au spirituel.
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