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1848.	La division faite de nouveau , parce qu’il était survenu plusieurs personnes, 78 ont demandé à bâtir. Sur ces 78, la question de bâtir, mise aux voix, vingt cinq se sont prononcés pour bâtir au centre. Cette dernière division faite, l’assemblée à été terminée.
	" Depuis cette assemblée, j’ai vu quelques personnes qui demandent à bâtir au centre. Si votre Gr. … est disposée à permettre à ces 25 personnes de bâtir, elles sont capables de le faire. "
	" Mon opinion sur cette question, après avoir examiné les lieux, entendu les personnes, est bien que pour les rangs St-Charles, et la Montagne de St-Pie, les rangs Papineau, Séraphine, St-George, Casimire de St-Césaire, et les personnes qui demeurent au bout de ces rangs, le centre de Séraphine est la place centrale et convenable, en choisissant un terrain propice. " " Je crois, de plus, que si ce n’est point à présent, plus tard, la chapelle sera place à cet endroit. Je suis, de plus, d’opinion, qu’il serait peut-être mieux de laisser faire encore quelque temps avant de permettre la bâtisse. " Messire Turcot réfute ensuite les accusations portées contre lui, relativement à cette affaire, : siz : anticiper l’heure, ne pas écouter les réclamations, demander de la chaux.
	Signé : " L. Turcot, p^tre " (Ibid)
	Dès le lendemain, le 27 Oct., Mgr Bourget répond à Messire Turcot, et lui dit, en substance, que, en égard au peu d’union qui existe actuellement entre les intéressés, et vu que la minorité seule veut bâtir, et ce, au rang Séraphine, contre le vœu général, il est d’avis " de suspendre pour le moment toute cette affaire … et qu’il ne soit plus question de chapelle dans ces quartiers. Effectivement, près de trois années s’écoulèrent, sans que l’on parlât, au moins ostensiblement, de la construction projetée.
	Dans l’intervalle, Mr. Turcot fut rappelé de St-Césaire et Messire J. A. Provençal lui succédait, 27 Sept. 1850 ds l’administration de cette paroisse.
Nota. ~	À la page, ci-dessus ligne 24, le mot arrondissement paroissial, nous est échappé; mais il est évident qu’il n’était alors question que de l’érection d’une chapelle.