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1867
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répartition alors existante pour la construction de
lÉglise, "ces braves gens refusèrent de faire les démarches
nécessaires pour obtenir .. leur annexion civile." Delà, en 1867 surtout,
mécontentement et jalousie des autres paroissiens, qui voulaient |

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Rosalie |
mettre ceux-ci à contribution ds la répartit.
supplémentaire. Dans le cours de lhiver, 1867, le curé, voulant faire cesser ce
malaise et établir lamour ds sa paroisse, essaya damener les premiers à
signer une requête demandant leur annexion civile. Après beaucoup de démarche, il
réussit. "Tous", presquunanimement, signèrent La requête au Commiss.
civils. Mais ceux-ci refusèrent dy faire droit, sous prétexte que les Tenanciers
actuels, établis ds cette partie de Rosalie, ne sont plus les mêmes pour moitié, que ce
qui pétitionnèrent en 1858, pour leur annexion canoniq. à lAnge Gardien. Partant,
les dits Commiss., avant dagir, exigeaient une nouvelle procédure ecclésiastique.
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Mgr. Chs. LaRocque 3e Ev. de
St-Hyac., informé du fait par Lettre du 19 avril, consent à renouveler la procédure. En
conséquence, le 28 avril, 13 habit. propriét. majorité des tenanciers intéressés,
signent une nouv. requête à LEvêq. en demande de leur réannexion. À la par. De
lAnge Gardien.
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Le 23 mai, Messire Prov., curé de St-Césaire,
en vertu dune Commission Spéciale, du 7, se transporte sur les lieux, maison de Sr.
Pierre Lacoste, et après opération faite, sans opposition, il dresse son rapport en tout
favorable à la demande des Requérants. Le 27 mai, lEvêq. diocésain émane un 2e
Décret dannexion confirmant, à la lettre, celui du 14 Juin 1858. Rien maintenant
nempêchait lautorité civile de faire droit aux gens de Rosalie, et de les
mettre par là sur un pied dégalité avec leurs co-paroissiens de lAnge Gard.
Lannexion reconnue civilement le 1er Juill. suivant.
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1868 |
Daprès le marché dentreprise du 5 mai 1863 (id.
p.47) avec le Sr. Brodeur, la fabrique devait se réserver la somme de $50. |
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Transaction |
Sur le revenu annuel des bancs "tout le casuel et toutes
les quêtes ou souscriptions
pour lentretien
du culte.
Le reste
de la somme amassée par la vente des bancs devait annuellement appartenir à
lentrepreneur jusquà lextinction de la dette
sans intérêt
aucun de la part de la Fabrique." |
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