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| 1867 | Les ouvrages intérieurs de l’Église et de la Sacristie
furent terminés en mai 1867. |
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| M.Autel | L’entrepreneur de ces travaux ne s’étaient pas
engagé à faire le maître Autel. Le 3 févr., une ass. des marg. ans. et nouv. décida
de donner l’entreprise de cette pièce au sr. L S. St-Denis, menuisier sculpteur de
la paroisse, à raison de 7/6 par jour, la fabriq. lui fournissant le bois et
d’autres matériaux nécessaires. Il commença l’ouvrage le 25 févr. 1867, et
le finit complètement en août 1869. Cet autel, dont le plan fut élaboré par le Sr.
St-Denis, lui-même, est remarquable, non pas par la profusion de richesses qui y
abondent, mais par sa simplicité unie, son élégance et le bon goût qui nesité à sa
confection. Il a coûté $400. à la fabrique. |
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| Statues. | Les braves habit. de l’Ange Gard. Peuvent être fiers de leur Église; ils sont bien payés aujourd’hui des sacrifices qu’ils ont faits en si peu de temps, et avec des moyens restreints pour ériger à La Gloire de Dieu, un beau Temple qui fait honneur à leur foi et à leur zèle. On y remarque, entre autre 18 grandes statues, dont 12 représentants le 12 apôtres sont placées à la partie supérieure des colonnes de la nef; sur le maître Autel, 2 Anges en adoration; au dessus et en arrière, la Ste Vierge ds une niche; plus haut encore, un Ange-Gardien, enfin, St-Joseph et Ste-Anne, sur les petitsAutels respectivement dédiés à ces deux grands protecteurs de l’Église (1). Il y a 214 bancs; 151 ds la nef 63 ds le Jubé. | |
| Vestiaires | Ajoutons que le Vestiaire est abondamment pourvu d’ornements sacerdotaux, de toute couleur. Près de cents et de magnifiques objets de parure pour la décoration du chœur, et des Autels et ce grâce au dévouement et à l’habilité du curé actuel qui fabrique lui-même gratuitement ces derniers articles, tant sont grands son zèle et son amour pour la beauté de la Maison de Dieu. Ce digne prêtre pourra dire, un jour, en toute confiance et en toute vérité au Seigneur : Domine Dilexi décorem Domus Tuae. (Ps. 25,8.9) | |
| Pendant que l’on travaillait à mettre la dernière main
à l’Établissement curial, une difficulté s’éleva relativement aux habit. du
haut de Rosalie, annexés canoniquement seulement, à la paroisse par Décret du 14 Juin
1858 (id. p. 44). Dans la crainte d’être inclus dans la |
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(1) Les autres Statues, N. D. de Pitié et le Sacré Cœur, ajoutées, en 1874. |
