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III. 3e Mr. P. L. Paré, ptre , 2e
C. résid…26 Sept. 1861 =
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| 1861 | Le 11 Sept. 1861, Messire Pierre Ludger Paré, Vicaire à Sorel, fut nommé curé de la paroisse de l’Ange Gard., où il se rendit le jeudi, 26. À son arrivé, les murs de l’Église en construct. étaient loin d’être terminés; néanmoins l’Édifice put être fermé ds le cours de l’été suivant. A cette époque, l’Entrepreneur |
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| 1862 | Généreux avait transporté son entreprise, au Sr. J. B. Brodeur, cultivat. de la paroisse. Depuis sept ans, la population de l’Ange Gard. s’était accrue assez sensiblement. La chapelle en bois bâtie en 1855, n’était plus suffisante pour la contenir | |
| L'Église | décemment aux offices publics. Tous désiraient voir se terminer au plus tôt … l’Église commencée depuis plus de deux ans et demi. Le 9 mars 1862, eut lieu une ass. de marg. et des synd. ds le but d’aviser aux moyens à prendre pour en accélérer les travaux. Le nouvel. Entrepreneur , J. B. Brodeur présent est "prié de livrer les bâtisses, si possible, plus vite que son marché ne l’y oblige ." Il répond qu’il pourrait le faire, dès l’automne suivant, pourvu que la fabrique lui donne de suite L200, somme encore dûe sur les L300 promis. A cette ouverture, un emprunt de L200 est proposé; néanmoins, l’ass. ne prend aucune décision à cet égard et le curé est prié de référer la question à l’autorité compétente. Mgr. J. Larocque, informé, le jour même | |
| du désir des habit. répond négativement; le 10 mars et refuge d’étendre davantage l’autorisation déjà donnée à ce sujet, le 28 Janv. 1859. (Id. p. 44) (2) Quoiqu’il en soit de ce refus, les travaux furent continués, et le nouv. temple put être consacré | ||
au culte, le 30 Oct. suivant. L’Evêque fut invité tout
spécialement à la cérémonie. Nonobstant le très mauvais état des chemins, alors,
Mgr. Voulut bien se rendre à l’invitation, et honorer la paroisse de sa présence.
Les aventures de Sa Gr. dans ce voyage pourrait fournir matière à un joli petit Roman
tragi-comique; mais nous faisons de l’histoire, ainsi n’en disons rien. Voyons
plutôt l’acte de bénédiction : Jeudi. Le trente Octobre mil huit cent
soixante-deux, nous, Evêque de St-Hyacinthe, … avons béni solennellement, et
prendre en présence d’un grand concours des paroissiens. |
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| (2) L’Évêque donna plus tard son approbat et, le 30 mai 1862, les L200 sont empruntés de J. L. Paré,. Écuyer. | ||
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