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1856
Rég. |
Le 15 Déc., Messire Fortin ouvrit les registres propres de la
paroisse par l’acte de Bapt. de Onésime, né la surveille du légitime mariage de
Antoine Tisdale et de Julienne Brunelle, de cette paroisse.
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1857 Jubé |
Le 24 Sept. 1857, après midi, un marché de 3000#, est passé
entre les Srs Moyse Sansoucy et Pierre Baille, marg. de l’œuvre Jos
Pressant et J. B. Catudel, Synd., et Ant. Robert, maître menuisier de St-Césaire pour
faire élégamment et solidement un Jubé ds. l’Église paroissiale de St-Paul,
livrable partir le 31 Déc., 1857 parta au printemps 1858. Ce jubé sera payé
graduellement par le revenu annuel de la rente de ses bancs.
Signé 5 croix, puis "J. E. Gaboury, N.P. ~ An. Brunelle, N.P. (Arch. par.)
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1858
V. P. |
Du 11=13 Juin 1858, Mgr. J.C. Prince fit sa 1er
Visite pastorale ds. la paroisse, accompagné …(id. p. 44) il y confirma 123
personnes; approuva le tarif et surtout les règlements, du 7 Sept 1856, relatif à la
vente des bancs et ordonna que la lampe fut constamment allumée en présence du
T.S.Sacrement
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Place publique |
À cette époque la distribution régulière et décente de la
place publiq. Devant l’Église le futur presbyt. amena quelques difficultés de la
part de certains paroissiens prétentieux.
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Déjà le 6 mai, 58, L’Évêq. avait émis sur ce sujet
une 1er ordonnance, motivé sur la "nécessité de fixer immédiatement la
destination de ce terrain; 2e sur la propos. de ménager … la décence du
lieu Saint et l’accès facile à l’Église et au Presbytère " "En
conséquence, S. Gr. règle que, sur l’arpent et quart, en largeur, et sur
l’arpent en profondeur de dit terrain, la première moitié, sur le chemin, sera
aisé en proportion égale, à l’usage des voitures et celui des personnes au moyen
de claire voie et d’allées : la seconde moitié formera la place propre de
l’Église et l’avenue et jardin du presbytère…"
" + J.C. Ev. de St-Hyacinthe" (Ibid)
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Le 13 Juin, ds. son ordonnance de visite, l’Évêque, sur
représentation, permet que la claire voie ou palissade de séparation, soit placée au
moins à 45 pieds. de l’Église.
Le marg. en charge ne tient aucun compte de tout cela, il fait fi de l’Évêque et du
curé, et, sans respect ni pour l’un ni pour l’autre , il faut faire la clôture
à sa guise, là où il lui plait. À la fin de Juill., elle était sur le point
d’être terminée.
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Le 4 août, Mess. Fortin informe l’autorité des faits et
gestes de son marguill. Récalcitrant et lui demande des instructions en cette matière.
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